Arrêtons de bouder le boudin ! C’est un mets des plus appréciés

Arrêtons de bouder le boudin ! C’est un mets des plus appréciés. Publié sur debeur.com magazine le 24 novembre 2019, écrit par Huguette Béraud.

Le 19 octobre 2019 avait lieu la 2e édition du concours du Meilleur boudin québécois au centre multifonctionnel à Boucherville, organisé par l’Association québécoise du goûte-boudin de Boucherville, Florence Junca-Adenot, sa présidente, Jean-Pierre Lemasson, ardent défenseur de la gastronomie et d’une bonne vingtaine de bénévoles qui se sont dépensés sans compter… [Lire l’article au complet].

Boudin du Québec : une association et un concours!

Boudin du Québec : une association et un concours! Publié sur restoration.org le 31 mai 2019, écrit par

Faire d’une pierre, deux coups! Le 23 mai dernier ont eu lieu, au Comptoir Espace Gourmand, à Boucherville, les lancements de la nouvelle Association Québécoise du Goûte-Boudin de Boucherville (AQGBB) et du premier concours du meilleur boudin artisanal québécois… [Lire l’article au complet]

 

 

Titre du logo de l’AQGBB

Le logo présente le titre de l’Association. Le fonds du logo en vert et bleu est le tartan de Boucherville, ville jumelle de Mortagne au Perche en France. Le lys bleu est le symbole du Québec pour une association québécoise. La fourchette représente la gastronomie, et fait le lien avec le logo de la Confrérie cousine des chevaliers de Mortagne au Perche.

Une confrérie du boudin voit le jour au Québec

Une confrérie du boudin voit le jour au Québec. Publié sur ouest-france.fr le 11 décembre 2018 écrit par Monique Béguin.

La spécialité de Mortagne-au-Perche fait des émules Outre-Atlantique. À Boucherville, l’association québécoise du Goûte-Boudin a décerné ses premières distinctions.

« Désormais, plus que jamais, Mortagne et Boucherville sont définitivement unis par les liens du sang ». C’est par ces mots que Jean Martel, maire de la ville québécoise, a conclu son intervention lors du tout premier chapitre organisé mi-novembre par l’association québécoise du Goûte-Boudin.

La spécialité percheronne est un trait d’union supplémentaire entre les deux cités jumelées depuis plus de cinquante ans. C’est aussi une référence à la fondation de cette ville proche de Montréal, il y a 350 ans, par Pierre Boucher, émigrant originaire de Mortagne-au-Perche.

Des mutations

La soirée a été marquée par la remise de « Délys » d’or, d’argent et de bronze aux six finalistes du concours du meilleur boudin québécois classique et créatif. « Il s’agit de redonner ses lettres de noblesse à un mets patrimonial emblématique pour tout le monde », a expliqué Florence Junca-Adenot, présidente de l’Association québécoise du Goûte-Boudin en présence de 138 convives, dont les vingt artisans qui avaient soumis trente-trois échantillons de boudin.

Ce concours a également représenté un temps d’échanges et de réflexions. « À l’heure du boudin bio, de la baisse de consommation de viande, des coups de boutoir des militants végans, nous sommes tous les jours confrontés à des mutations qui questionnent nos habitudes », a commenté Yves Landry, représentant la confrérie mortagnaise. De part et d’autre de l’Atlantique tout le monde s’accorde à dire que « ce n’est que par la recherche de la qualité que la filière charcutière survivra et élargira le nombre de ses adeptes. »